DÉBUTER AVEC LE TABLEUR DE STAROFFICE 5.1

Auteur:    Christian Herbé
Date:        Mai 2000
 

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INTRODUCTION
PRÉSENTATION DU LOGICIEL
DESCRIPTION DE L'ÉCRAN
SAISIE DE DONNÉES ET 1ers CALCULS
SYSTEME DE REFERENCE DES CELLULES
SAUVEGARDE et le menu Fichier
LE MENU ÉDITION ET L'UTILISATION DE LA SOURIS
LE MENU FORMAT
LE MENU OUTILS
MISE EN PAGE AVANT IMPRESSION
PERSONNALISATION
QUELQUES RACCOURCIS
MISE EN PAGE OU PRÉSENTATION A L'ÉCRAN
LES GRAPHIQUES
LES FONCTIONS
TRIER LES DONNÉES
LES FILTRES
LE DATAPILOT


AVERTISSEMENT

La rédaction de ce document  est une initiative strictement privée.Ce manuel ne peut donc se substituer à la document officielle du logiciel STARCALC. Le présent document  peut être redistribué gratuitement mais ne peut en cas faire l'objet d'une transaction commerciale sans l'accord écrit de l'auteur! Le manuel ne peut pas non plus être modifié.
Il est destiné à aider les débutants à prendre en main les fonctionnalités de base du tableur. Par conséquent, les sujets abordés ne représentent qu'une partie des possibilités du logiciel. Toutes les commandes citées ont été testées sur la version 5.1 pour Win32.


INTRODUCTION

Actuellement, il y a sur chaque ordinateur une série de logiciels dont chacun a une fonction précise . On trouve un produit spécialisé dans le traitement de texte, un autre destiné aux analyses statistiques, un troisième que l'on utilise pour le traitement des images et ainsi de suite . StarOffice est ce que l'on appelle dans le jargon informatique, une suite bureautique c'est à dire une série de logiciels utilisables pour les besoins courants.



 
 

PRÉSENTATION DU LOGICIEL

Le tableur de StarOffice s'appelle StarCalc; il est destiné au traitement des données. C'est un terme vague qui englobe beaucoup de choses qui peuvent aller de l'encodage de valeurs numériques à la réalisation de la comptabilité analytique d'une entreprise en passant par l'exploitation statistique ou la gestion de bases de données à structure relativement simple. Nous utiliserons ici le terme consacré de tableur (précision utile à l'égard de nos amis Québécois qui le désignent comme «chiffrier»). Tableur comme tableau de données ou plus exactement issu de l'Anglais table qui signifie ici tableau. Ce produit n'est pas unique dans sa catégorie. Citons par exemple APPLIX (de Applix ware) qui est l'équivalent de MSoffice pour systèmes Unix; Excel ( de Microsoft ) en version Windows et Mac. Citons encore Lotus 1 2 3 (de IBM ).


PRÉSENTATION DE L'ÉCRAN

La première ligne colorée généralement en bleu tout en haut de l’écran contenant le nom du logiciel et le nom du fichier s’appelle la barre des titres; elle affiche le nom du document actif. Les objets situés à l'extrême droite de cette barre servent à fermer et à réduire ou agrandir la fenêtre.
Les menus déroulants sont indépendants de l'écran de Starcalc. Chacun de ces menus contient une série de fonctionnalités qui sont les commandes du logiciels actif. Le menu fichier est utilisé pour la gestion des fichiers (ouverture, fermeture, sauvegarde, impression et affichage des propriétés). Nous verrons plus loin à quoi servent les autres menus.
Les deuxième et troisième lignes ( voire plus dans certains cas) sont composées d'icônes qui offrent un accès plus direct aux commandes.
La ligne suivante s'appelle la barre de formule. A gauche, elle est composée d'une cellule qui indique la position de la cellule active. La partie de droite montre le contenu de la cellule active (cellule ayant le focus).
Je reviendrai plus tard sur la partie inférieure de l'écran. Ce que je viens de décrire est affiché de manière permanente .
Pour modifier l'aspect ou les fonctionnalités de certains éléments voir le chapitre PERSONNALISATION.
Voyons maintenant la partie centrale. Elle est constituée d'un tableau (nous y voilà !) à 256 colonnes et 32000 lignes. Toutes les lignes et toutes les colonnes ont une référence unique. Les colonnes sont notées A B …Z pour les 26 premières puis AA AB … AZ et ainsi de suite jusqu’ à la 256ème. Les lignes ont toujours une référence de 1 à 32000 avec un pas de 1. Chacun des petits rectangles situés à l'intersection d'une ligne et d'une colonne s'appelle un cellule Elle est référencée par l'ajout des adresses de la colonne et de la ligne: la cellule placée au croisement de la colonne A et de la ligne 1 a l'adresse A1 . Si vous tapez une valeur quelconque dans la cellule A1, vous voyez sa valeur s'afficher à l'endroit où vous l'avez tapée, mais aussi dans la partie droite de la barre des formules ( la 3ème ligne en haut de l'écran).


SAISIE DE DONNÉES ET 1ers CALCULS

Dans la partie DESCRIPTION , j’ ai donné une définition très générale du logiciel. Nous allons maintenant détailler une toute petite partie des possibilités du tableur. Commençons par se dérouiller les phalanges en créant notre premier tableau de données. Il s'agit de récapituler les notes de Français de quelques élèves d'une classe. Exemple:
 
 
A
B
C
D
E
F
G
1 Elèves Matières Notes Remarques Minimum Moyenne Maximum
2 Julien Français 10
3 Maud Français 3.5 Elève distraite
4 Claire Français 18
5 Anaïs Français 14
6 Luc Français 11

Première remarque: Starcalc n'accepte pas seulement les valeurs numériques. On peut en effet saisir tous les caractères proposés par le clavier. Saisir des données n'est pas une fin en soi. L'intérêt réside dans l'exploitation de ces informations. Vous pouvez demander au logiciel de faire un calcul en écrivant l'opération précédée du signe égal (=) dans une cellule; voici quelques exemples:
=1+1+1+1    renvoie 4
=10-5            renvoie5
=5*5            renvoie 25
=25/2            renvoie 12,5
. Après avoir validé (touche Entrée), la cellule affiche le résultat. Si vous omettez le signe égal, l'opération est affichée sans être calculée.
Si vous souhaitez élever un nombre à une puissance ou extraire une racine, vous utiliserez le caractère accent circonflexe (^) exemples:
=4^2 calcule le carré de quatre;
=27^(1/3) calcule la racine cubique de 27 ou plus exactement sa puissance 1/3 (attention aux parenthèses!).
Voyons un exemple de calcul de moyenne. Placez vous dans la cellule F2. Tapez ceci:
=moyenne(C2:C6) et appuyez sur la touche Entrée.
Vous venez de demander au logiciel de calculer la moyenne des valeurs depuis la ligne 2 de la 3eme colonne (colonne C) jusqu’ à la ligne 6. à l’aide d’une fonction du logiciel. Pour travailler avec une fonction, il faut entrer son nom avec une syntaxe particulière. Vous avez vu apparaître le signe égal (=) qui précède la fonction et un jeu de parenthèses qui " enferment " les arguments. Ces derniers peuvent être séparés par des points virgules ou des virgules selon la configurationdu système d'exploitation. Vous pourriez aussi calculer une moyenne comme ceci :
=moyenne(10 ;8 ;12)
Après avoir tapé sur entrée, vous verrez apparaître non plus la formule mais la valeur moyenne des trois nombres. Ces quelques principes sont des règles incontournables dans l'utilisation des fonctions. Vous pouvez obtenir la liste de toutes les fonctions disponibles en cliquant sur le menu Insertion puis Fonctions puis sur l'onglets Fonctions puis Toutes . Dans ce menu, vous pouvez constater qu’il y a plusieurs thèmes. Starcalc ne se borne pas à faire des calculs. Il est capable de manipuler des chaînes de caractères. Il peut extraire une partie d'une série de caractères (fonctions de texte DROITE . GAUCHE par ex) . Il peut aussi réunir des chaînes de caractères saisis dans plusieurs cellules (fonction CONCATENER ).
Pour plus de détails sur les fonctions, voir le chapitre: LES FONCTIONS


REFERENCES ABSOLUES, REFERENCES RELATIVES

Dans le chapitre Présentation de l’écran, j’ai décris le système d’adresse des cellules. $A$1 est un exemple de références absolues à la première cellule (en haut à gauche) du tableau.  M le Président de république, Palais de l’Elysée , F-75000 Paris est aussi une référence absolue car elle renvoie toujours au même point quelque soit l’endroit où l’on se trouve. En revanche, A1 est un exemple de références relatives c’est à dire qu’elle donne une adresse à partir de l’endroit où l’on se trouve comme si vous disiez "c’est 3 immeubles plus loin !".
Il est possible de mêler un n° de ligne relatif avec un n° de colonne absolu ou l’inverse :
$A1 est une référence relative pour la ligne et une référence absolue pour la colonne (présence du signe Dollar).
A$1 est une référence absolue pour la ligne et une référence relative pour la colonne
En résumé, si vous voulez écrire une adresse en relatif, il est beaucoup plus simple de cliquer sur la cellule "visée" après avoir entré le signe égal ; Starcalc utilise par défaut le mode relatif. Si vous voulez écrire une adresse en absolu c’est à dire qu’elle fasse toujours référence à la même cellule quelque soit l’endroit où elle est copiée, écrivez la ainsi :
= $A$1


SAUVEGARDE

L'exercice que nous venons de réaliser doit être sauvegardé si l'on veut pouvoir le réutiliser. Puisque c'est la première fois, on utilise le menu Fichier puis Enregistrer sous... pour obtenir la boite de dialogue contenant divers champs :
Le premier champ : " Nom de fichier " permet de choisir ou taper le nom du fichier.
Le champ "Type" permet de choisir un type de fichier en fonction de la destination. Laissez le type par défaut si vous voulez continuer à travailler avec cette version du tableur. Sinon, vous pouvez choisir un format pour une ancienne version, pour le tableur de Microsoft (Excel *), un format ASCII (Text CSV) ou en format symbolique (slk)
Maintenant que le fichier est crée, toutes les futures modifications pourront être sauvegardées en utilisant le menu fichier puis enregistrer ou le raccourci Ctrl+s.
Le menu Fichier permet aussi d'imprimer son travail ; voir le chapitre: Mise en page avant impression


LE MENU ÉDITION ET L'UTILISATION DE LA SOURIS

Dans l'exemple du début, la colonne " matière " contient plusieurs fois la même occurrence. Il est fastidieux d'avoir à retaper la même chose. Le menu Édition offre la possibilité d'éviter la "frappe répétitive" ; ce sont les outils Copier et Coller . Il y a plusieurs manières de les utiliser. Il faut d'abord sélectionner le texte à dupliquer ou à déplacer.
Sélection d'une chaîne de caractères au clavier :
On place le curseur à une extrémité de la chaîne de caractères à dupliquer, on maintient la touche Shift enfoncée et on déplace le curseur avec les touches flèche .

Sélection d'une chaîne de caractères à l'aide de la souris :
On place le curseur à une extrémité de la chaîne de caractères à dupliquer, on maintient le bouton gauche de la souris enfoncée et on glisse le mulot vers l'autre extrémité de la chaîne. Une fois le texte sélectionné, il faut que le logiciel le " mémorise " ou plus exactement qu’il en fasse une copie dans un " buffer " appelé "presse-papiers" sous Windows . Pour lui donner cet ordre, il faut:
    aller dans le menu Édition
    cliquer sur Copier pour dupliquer
    ou sur Couper pour déplacer le texte.
    placer le curseur dans la cellule d'accueil.
    Retourner dans le menu Édition et cliquer sur Coller .

Autre technique permettant l'écriture dans plusieurs cellules :
    Placez le curseur dans une cellule
    Appuyez sur le bouton gauche de la souris
    glissez vers le bas en maintenant le bouton enfoncé.
    Relâchez le bouton
    Tapez quelques caractères
    Maintenez la touche Alt enfoncée
    Appuyez sur ENTRÉE.
Vous pouvez voir que le texte est écrit dans toutes les cellules sélectionnée.

Vous avez sans doute remarqué que la plupart des sous menus comme Édition Copier sont suivis par un texte à priori bizarre comme : Copier…..Ctrl+c .
C'est tout simplement un aide mémoire. Il vous rappelle que vous pouvez utiliser un " raccourci clavier " pour exécuter avec une combinaison de touches ce que vous venez de faire avec la souris. Au lieu de faire à la souris menu Édition puis Copier ; il est plus rapide d'appuyer simultanément sur les touches Ctrl et C ce qui produit le même résultat. Remarquez aussi que chaque mot d'un menu comporte une lettre soulignée. C’est une autre façon de sélectionner le mot en tapant la lettre soulignée.
Les icônes situées au dessus de la barre des formules sont des " raccourcis souris " . Pour savoir à quoi elles sont destinées, il suffit de placer le curseur sur elles sans cliquer. Après quelques instants, vous verrez apparaître un texte qui indique la fonction de l'icône.
Le menus Édition offre également la possibilité de rechercher ou de remplacer un texte n'importe où dans le tableau. Ex :
utilisez les menus Édition puis Rechercher/remplacer, écrivez un texte dans le champ rechercher puis cliquez sur le bouton rechercher.


LE MENU FORMAT

Cette section concerne la mise en forme des caractères saisis. Selon leur signification, mais aussi pour des raisons personnelles, les nombres peuvent être affichés différemment. On n'écrit pas de la même manière des valeurs indiquant l'heure, une somme d'argent ou le résultat d'un calcul précis. Il arrive aussi que l'on souhaite réduire la taille des caractères pour en afficher d'avantage à l'écran; ou, au contraire, l'augmenter pour mettre en évidence une partie du tableau.
Le menu Format , puis Cellules permet la modification d'un ou plusieurs caractères, d'une cellule entière ou d'une plage de cellules. On peut l'utiliser pour dessiner un cadre autour d'une cellule. Le menu Format , puis Ligne ou colonne donnent la possibilité de modifier les dimensions, de masquer ou afficher.
Pour plus de détails, voir le chapitre: MISE EN PAGE OU PRESENTATION A L’ECRAN


LE MENU OUTILS

Il est peu utilisé par le débutant. Nous ne parlerons que des sous menus : Options et personnaliser.
On a recours aux options pour paramètrer certains attributs comme l'affichage de la police par défaut, ou le répertoire de l'utilisateur.
Le sous menu personnaliser sert à modifier l'affichage des barres d'outils. On peut en ajouter ou en supprimer. On peut aussi modifier leur contenu.
Pour plus de détails, voir le chapitre: MISE EN PAGE OU PRESENTATION A L’ECRAN



 
 

MISE EN PAGE AVANT IMPRESSION

On utilise le menu format puis page. Il permet le réglage de tout ce qui concerne l'impression.:
    le sens de la page (portrait ou paysage)
    les marges
    les entêtes et pieds de pages
    l'agrandissement ou réduction (zoom avant ou arrière)
    lignes à répéter (pour obtenir les titres sur chaque feuillet)
    le nombre de copies ou au contraire l'impression partielle
     l'imprimante destinataire
 Pour voir apparaître les titres de colonnes sur chaque page imprimée:
    aller dans le menu Format puis  page
    Cliquer sur l'onglet Feuille de calcul
    dans le cadre Imprimer, cochez Titres de colonne et de lignes
Pour n'imprimer qu'une partie de tableau:
    sélectionnez la zone à imprimer
    aller dans le menu Fichier puis Imprimer
   dans zone d'impression, cochez Sélection


PERSONNALISATION

Les barres d'outils :
On peut ajouter ou supprimer des barres d'outils ; ajouter ou supprimer des icônes à l'intérieur des barres d'outils. (Affichage puis barres d'outils). Chaque barre d'outils cochée dans ce menu sera affichée.

Ajouter une icône:
    cliquez sur le menu Affichage puis Barres d'outils puis Personnaliser
    Dans les cadres: Catégorie et Commandes, choisissez une commande
    Quand vous avez sélectionné la commande qui vous intéresses, l'icône correspondante apparait comme un bouton enfoncé
    maintenez enfoncé le bouton gauche de la souris sur l'icône choisie et glissez la jusqu'à l'intérieur d'une barre d'outils
    ( sous les menus déroulants et parmi les autres icônes)

Supprimer une icône:
cliquez sur le menu Affichage puis Barres d'outils puis Personnaliser
maintenez enfoncé le bouton gauche de la souris sur l'icône à supprimer et glisser la dans la feuille de calcul

Emplacement par défaut des documents:
Menu Outils puis Options puis dans le cadre de gauche, Général et Rep par défaut
dans le cadre de droite, sélectionnez Dossier de travail et cliquez sur le bouton Modifier
écrivez le chemin du nouveau dossier ou sélectionnez le à l'aide des icônes

Calcul automatique de moyenne, somme ...
Lorsque plusieurs cellules sont sélectionnées, la somme des cellules est affichée en bas et à droite de l'écran. On peut remplacer la fonction somme par une autre:
Placez le curseur de la souris à cet endroit et appuyez sur le bouton droit  et cochez la fonction qui vous intéresses.


LES GESTES QUI SIMPLIFIENT TOUT ...

Glisser-Déplacer :
On peut déplacer une série de données présélectionnées en cliquant au bord de la sélection, Quand le curseur se transforme en flèche, cliquez et glissez vers la zone de destination.

Recopie incrémentée :
Si les cellules sélectionnées sont incrémentées (2,4,6; lundi, mardi; Jan, Fev …), en cliquant et glissant le petit carré noir en bas à droite de la cellule active(1), StarCalc continue la série.
(1) Ce petit carré s'appelle la poignée de recopie !

Reproduire une série de données identiques :
Si l'on clique sur la poignée de recopie tout en maintenant la touche Ctrl enfoncée, et que l'on glisse, StarCalc recopie les valeurs.

Recopie incrémentée contrôlée :
Sélectionnez une cellule contenant une valeur qui servira de point de départ ; allez dans le menu Édition puis recopier puis série.
Cochez ligne ou colonne selon votre souhait ; cochez Linéaire ; choisissez une valeur de pas puis la dernière valeur de la série.

Copier (dupliquer) la sélection:
Ctrl +C

Couper (déplacer) la sélection:
Ctrl + X

Coller le contenu du presse-papiers:
Ctrl + V

Saisie incrémentée automatique:
On peut être amené à saisir souvent une liste de valeurs comme les jours de la semaine, les mois, des nombres ... Si vous tapez dans une cellule "lundi", dans la cellule suivante "mardi", que vous sélectionnez ces 2 cellules et que vous glissez le petit carré noir en bas à droite de la dernière cellule sélectionnée, Starcalc incrémente la série.

Créer ses propres séries incrémentées composée par exemple du personnel de l'entreprise:
    Allez dans le menu Outils puis Options
    cliquez sur la croix de Classeur
    sélectionnez Liste de tri
    cliquez sur le bouton Nouveau
    dans le cadre Entrée, écrivez les noms de vos collègues en les séparant par une virgule ex:
Dutroux, Landru, Petiot, S.Weber

Affecter un coefficient à une plage de cellules ou les convertir:
Supposons que vous disposiez d'un tableau de données exprimées en Francs. Vous voulez le convertir en Euro.
    Tapez dans une cellule quelconque la valeur de l'Euro;
    "copiez" cette valeur (Ctrl+c);
    sélectionnez les cellules à convertir;
    allez dans le menu Edition | Collage spécial;
    cochez Division et nombres
Starcalc divise les cellules sélectionnées par la valeur de l'Euro!

Sélectionner plusieurs feuilles:
maintenez la touche Ctrl enfoncée et cliquez sur l'aonglet de l'autre feuille à sélectionner

Ecrire simultanément dans plusieurs feuilles:
Supposons que vous soyez chargé de composer un document comptable. Vous décidez de créer une feuille "dépenses" par mois. Les fournisseurs étant identifiés, il faut écrire leur nom dans 12 feuilles, vaste programme !
- créer les 12 feuilles
- maintenez la touche Shift enfoncée et cliquez sur le dernier onglet
- écrivez les noms de fournisseurs dans la feuille active
- maintenez la touche Ctrl enfoncée et cliquez sur un onglet  pour désélectionner les autres feuilles
Vérifiez dans chacune des feuilles, elles doivent toutes contenir ce que vous avez tapé dans une seule !

Sélection contrôlée d'une matrice de données contiguës :
Si la matrice à sélectionner ne contient pas de cellule vide en bordure, on peut rapidement réaliser la sélection en maintenant enfoncées les touches CTRL et Shift et en appuyant sur les touches flèches de direction.

Sélection rapide d'une matrice de données contiguës :
     Ctrl + *

Donner le focus à la dernière cellule de la sélection :
On peut se déplacer à l'intérieur d'une sélection sans perdre celle-ci en appuyant sur les touches Shift et Entrée.
Se déplacer à l'intérieur de la sélection:
    Sélectionnez d'abord plusieurs cellules
    maintenez la touche Shift enfoncée
    appuyez plusieurs fois sur la touche ENTREE
ou
    utilisez la touche TABulation

Atteindre la première ou dernière valeur d’une série de données :
Maintenez la touche CTRL enfoncée et appuyez sur une touche flèche de direction

Atteindre la première cellule du tableau:
    Appuyez simultanément sur les cellules CTRL et Home

Atteindre la dernière cellule du tableau:
    Appuyez simultanément sur les cellules CTRL et Fin

Sélectionner toute la ligne:
    cliquer sur le numéro de ligne

Sélectionner toute la colonne:
    cliquer sur le numéro de colonne

Sélectionner tout le tableau:
    cliquer sur le rectangle situé au dessus du 1er n° de ligne et à gauche du 1er n° de colonne

Ajuster une largeur de colonne à la cellule contenant la plus longue chaîne:
    Double cliquer sur la limite de la colonne à droite de sa référence ( à droite de B pour la colonne B)

Ajuster automatiquement les largeurs pour plusieurs colonnes:
    sélectionnez les colonnes à formater
    Double cliquez sur une limite de colonne

Modifier l’ordre des feuilles :
Maintenez enfoncé le bouton gauche de la souris à partir de l’onglet à déplacer et glissez jusqu’à la destination.

Sélectionner plusieurs feuilles:
       Shift + clic sur les feuilles à activer

Desélectionner plusieurs feuilles:
    Shift + clic sur la feuille affichée
(ça marche aussi avec la touche Ctrl mais dans le sens inverse !)

Fermer le document actif:
    soit utiliser les menus Fichier puis Fermer
    soit appuyer simultanément sur Ctrl + F4

Fermer StarOffice (ou tout autre application Windows)
   Appuyer simultanément sur Alt +F4

Pointeur (souris) à 3 boutons:
Le bouton central peut se substituer aux barres de déplacement verticales et horizontales avec l'avantage de pouvoir régler la vitesse et le sens de déplacement.


MISE EN PAGE OU PRÉSENTATION A L'ÉCRAN

Ajouter un commentaire sur une cellule :
On est souvent tenté d'abréger le titre des colonnes afin de réduire la largeur du tableau mais si le texte est trop réduit, on risque de ne plus comprendre la signification du titre. Dans ce cas, on ajoute un commentaire sur une cellule:
allez dans le menu Insertion puis Notes et taper un texte. Les cellules contenant un commentaire sont marquées d'un petit rectangle ou liseret coloré.
Ne confondez pas Note et Nom. On définit un nom comme une note mais les cellules nommées ne se distinguent pas des autres contrairement à celles qui sont affectées d'une note. En revanche, un nom peut être utilisé dans une formule: voir le paragraphe suivant.

Nommer une cellule ou une plage:
L'utisation des références de cellules dans les formules ou leur sélection à la souris peut s'avérer fastidieuse si l'action est souvent repétée. Dans ce cas, il est préférable d'attribuer un nom à la zone. Si vous utilisez souvent la matrice A2:X250:
    Menu Insertion | Nom | Définir
    dans le champ Nom, tapez zone ou ce que vous voulez
    (si vous n'utilisez que 2 caractères alphanumériques, évitez ceux utilisés par les titres de colonnes)
    depuis le champ Réfère à, sélectionnez la matrice A2:X250
Vous pouvez maintenant écrire une fonction avec ce nom: =max(zone)

Rendre les titres de colonnes toujours visibles quelque soit la position verticale:
Dès que l'on se déplace au delà de la taille de l'écran, les titres disparaissent. On peut les rendre toujours visible en sélectionnant la 2ème ligne et la 1ere colonne et en allant dans le menu fenêtre puis Fixer.
Vous pouvez annuler cette action depuis les menus Fenêtre puis décocher Fixer

Rendre les titres de lignes toujours visibles quelque soit la position horizontale:
sélectionnez la 2ème colonne et la 1ere ligne et en allez dans le menu fenêtre puis Fixer

Rendre les titres de lignes et de colonnes toujours visibles:
    sélectionnez la cellule B2 et allez dans le menu fenêtre puis Fixer

Voir le début et la fin d'un tableau d'un grand tableau:
    Sélectionnez une cellule à l'endroit ou opérer le fractionnement
    Aller dans les menus Fenêtre puis Scinder
Vous pouvez annuler cette action depuis les menus Fenêtre puis Décocher Scinder

Les menus contextuels:
Ce nom barbare désigne les menus qui apparaissent quand on se sert du bouton droit de la souris. La liste de ces menus change en fonction du contexte d'où leur nom . Ils n'apportent rien de plus que les menus situés en haut de l'écran mais l'accès est beaucoup plus rapide.

Ajuster (Justifier) automatiquement un texte à la cellule:
    Menu Format | cellules | Onglet Alignement
    dans le cadre enchaînements, cochez renvoi à la ligne

Fusionner des cellules et centrer un texte sur plusieurs cellules :
Au départ, on a ceci :
 
Texte non centré

Et on veut obtenir cela:
 
 
Texte centré et cellules fusionnées
     

 

Sélectionnez les cellules à fusionner (celles de la 1ère ligne)
Aller dans les menus Format puis Fusionner
Aller dans le menu Format puis Cellules puis sur l'onglet Alignement et cochez Centrer

Encadrer une zone ou une seule cellule
    Sélectionnez la zone à encadrer
    Allez dans les menus Format puis cellules puis choisissez l'onglet Bordure
    Dans la fenêtre Styles, choisissez le style de ligne qui vous convient
    dans Valeurs prédéfinies, choisissez le cadre qui vous convient

Incliner le texte d'une cellule:
    Sélectionnez la ou les cellules à formater
    Allez dans les menus Format puis cellules puis choisissez l'onglet Alignement
    déplacer le curseur coloré dans la fenêtre Orientation d'écriture

Colorer le fond des cellules:
    Sélectionnez la ou les cellules à formater
    Allez dans les menus Format puis cellules puis choisissez l'onglet Arrière-plan et cliquez sur la couleur choisie
    Ou bien cliquez à l'aide du bouton droit sur la sélection et choisissez Format de cellules

Colorer un texte :
    Sélectionnez le texte à formater (il peut s’agir d’une partie de chaîne)
    Allez dans les menus Format puis cellules puis choisissez l'onglet Polices et choisissez dans le champ " Couleur "

Soulignement :
    Allez dans les menus Format puis cellules puis choisissez l'onglet Polices
    cochez  Souligner
 


LES GRAPHIQUES

Rappel important
Starcalc offre toutes sortes de présentations des graphiques, cependant, il y a une différence qu’ il faut toujours avoir à l'esprit entre le format "nuage de points" et les autres formats. Chaque point d'un "nuage" est positionné en fonction de deux coordonnées. Si l'on représente le poids d'individus en fonction de leur taille, on place les points en tenant compte des deux informations. Maintenant, si l'on ne dispose que de la taille et du prénom de chaque individu, on place les points sur le graphique avec une seule coordonnée, le prénom est placé sous le point et sert à uniquement à l'identification.
Il faut aussi insister sur le format " histogramme ". Il s'agit en réalité d'un diagramme en "bâtons". Bien entendu, on peut créer des histogrammes avec Starcalc mais c'est une démarche statistique.
Autre rappel important : Starcalc offre un format " surface ". A priori, on pourrait croire qu’ il s'agit d'un format permettant d'utiliser trois coordonnées (graphique à 3 axes). Mais en réalité, il s'agit d'un graphique dont une seule variable est utilisée, les deux autres servent uniquement à afficher des étiquettes sur leurs axes respectifs.
Premier graphique :
Il faut d'abord sélectionner les données à représenter.
Aller dans le menu Insertion puis Graphique et contrôler la réalisation. Si le graphique ne correspond pas à ce que l'on attendait, il est toujours possible de le modifier en cliquant sur l'élément à corriger. Pour changer la présentation d'un axe, cliquez deux fois sur l'axe.
Modification des graphiques:
Activez le graphique. Allez dans le menu Format. Vous pouvez modifier le titre principal, les titres des axes ou légendes, les axes Etc.


LES FONCTIONS

Disponibles depuis les menus Insertion puis Fonctions et classées par thèmes, elles sont " l’âme " du logiciel. A partir de données saisies au clavier ou lues dans un tableau, elles permettent à l'utilisateur de mettre en forme, analyser ou traiter un ensemble de données diverses. Elles sont trop nombreuses pour être présentées une par une. Je me contenterai donc d'évoquer les plus utilisées ou celles qui sont représentatives d'une utilisation particulière.
Chaque fonction doit être "annoncée" par le signe égal (=). Vient ensuite son nom suivi d'une parenthèse ouvrante , du ou des arguments et d'une parenthèse fermante. Ex : si vous saisissez ceci, =moyenne( 10 ;20), après avoir validé, la cellule affiche 15. (selon la configuration du système, le point virgule doit être remplacé par une virgule). Regardez dans la barre des formules, vous voyez la fonction. Notez au passage que les caractères tapés en minuscules sont devenus des majuscules. Cela signifie que le programme a reconnu votre syntaxe et a calculé la fonction. Vous n'êtes pas obligé de taper les valeurs utilisées, vous pouvez les sélectionner dans le tableau. Dans ce cas, la même fonction ressemblera à ceci : =moyenne(A1:B10). (1)
Ce qui veut dire que les arguments sont ce que contient la matrice comprise entre ligne1 de la colonne1 et la ligne10 de la colonne2 . Si les cellules à calculer ne sont pas contiguës, alors la fonction peut ressembler à ceci : =moyenne(A1;B10;C15). Vous n'êtes pas non plus obligé d'écrire les arguments, vous pouvez taper : =moyenne() , placer le curseur entre les parenthèses et sélectionner avec la souris les cellules à calculer. Si elles ne sont pas contiguës, il suffit de maintenir enfoncée la touche Ctrl pendant la sélection.
La fonction MOYENNE fait partie de la catégorie " Statistique ". Comme tous les noms de fonctions, ou presque, sont en Français, vous trouverez facilement celles que vous recherchez dans une catégorie. Si toutefois vous avez un doute, sélectionner la fonction et lisez en bas de la boite de dialogue la ligne de renseignements (le classement par catégorie est parfois déroutant; si vous ne trouvez pas une fonction depuis une classe, sélectionnez la catégorie «Toutes» et faites une nouvelle recherche).
(1)
La  fonction MOYENNE()  ne tient pas compte des cellules contenant une valeur non numérique ou vides ! Si vous sélectionnez une plage de 10 cellules contenant une cellule de texte et une cellule vide, la fonction calculera la moyenne sur 8 données ; mais si une cellule contient la valeur zéro(0), celle ci participera au calcul !
 
 

Les fonctions de la catégorie " TEXTE " sont utilisées pour manipuler des chaînes de caractères. Supposons que vous vouliez réunir deux textes contenus dans deux cellules. Placez vous dans une troisième cellule et utilisez la fonction CONCATENER. Si au contraire vous voulez dissocier un mot, utilisez les fonctions DROITE ou GAUCHE selon la position du texte à extraire. Il est possible d'extraire n'importe quel(s) caractère(s) dans une chaîne si on utilise astucieusement des fonctions emboîtées. Exemple :
La cellule A1 contient la chaîne Paul-Emile-Victor. On veut extraire Emile. On peut le faire en deux étapes. D'abord avec la fonction
=droite(A1 ;12)
qui renvoie Emile-Victor puis la fonction
=gauche(A2 ;5)
qui renverra Emile. Mais il est plus rapide de taper :
=gauche(droite(A1 ;12) ;5).
Cet emboîtement de fonction extrait d'abord les12 caractères de droite de la chaîne Paul-Emile-Victor puis les 5 caractères de gauche.

Les fonctions " logiques " sont utilisées pour faire des tests (l'adjectif vient du type de réponse renvoyé par ces fonctions : VRAI ou FAUX). Supposons que vous ayez une longue colonne de valeurs qui devraient être égales ou inférieures à 20. Pris d'un doute, vous craigniez qu’ une valeur supérieure se soit glissée dans le tableau ! Entrez la formule suivante dans la colonne contiguë de droite:
=si(A1)<=20 ; 0 ;1)
puis recopiez la dans les autres cellules en cliquant 2 fois sur la poignée de recopie. La fonction teste si la même ligne de la colonne précédente est inférieure à 20. Si oui, elle affiche la valeur zéro, sinon , elle affiche la valeur un. En parcourant la colonne, vous ne devriez voir que des zéro, ou alors il y a bien une erreur ! Vous pouvez même obtenir un résultat global en additionnant les valeurs renvoyées par la fonction SI (utilisez la fonction SOMME). Si il n'y a pas d'erreur, la somme des tests est égale à zéro, sinon la valeur obtenue indique le nombre d'erreurs!
Cette syntaxe est assez limitée puisqu’ elle ne fait qu’ un test : ou les valeurs sont inférieures à 20 ou elles sont supérieures. On peut demander au programme de rechercher des valeurs en dehors de bornes prédéfinies. Ex : y a t il des valeurs inférieures à 10 ou des valeurs supérieures à 20 ? Dans ce cas , on va emboîter deux fonctions : SI et OU :
=si(ou(A1<10 ; A1>20) ;1 ;0)
La fonction OU est emboîtée dans la fonction SI. Elle accepte jusqu’ à 30 tests. Elle renvoie VRAI ou FAUX à la fonction SI qui utilise cette information pour l'affichage.
Les fonctions
=si(et(A1>9;A1<21) ;0 ;1)
renvoient le même résultat. On aurait pu aussi écrire :
=si(A1<10 ;0;si(A1>=20 ;0 ;1))
pour obtenir le même résultat mais la fonction SI n'autorise que sept emboîtements ce qui est parfois limitant.

Copier-collage spécial de résultats de fonctions :
L'ennui avec les cellules contenant des fonctions vient quand on veut les déplacer car, les fonctions contenant elles même des références à des cellules, elles deviennent fausses dès lors que l'on déplace la fonction. Le seul moyen d‘éviter ça est de copier et coller non pas la fonction mais son résultat.
    Sélectionnez une cellule contenant une formule et utilisez un raccourci pour copier cette sélection.
    Placez vous dans la cellule d'accueil. Allez dans les menus Édition puis collage spécial, cochez nombres et décochez les autres options.


TRIER LES DONNÉES :

Sélectionnez les données à trier, allez dans le menu Données puis trier,
Dans le champ du haut, donnez le titre de la 1ère colonne à trier, dans le champ du milieu celui de la 2ème et dans celui du bas , celui de la 3ème. L'ordre des colonnes définit les priorités de tri. Dans notre exemple, toutes les lignes seront triées en fonction de la colonne1, puis en fonction de la 2ème colonne et seulement après de la 3ème. On peut sélectionner plus de trois colonnes. Si on a besoin de plus de trois clefs de tri, il faut réaliser l'opération en deux fois ou plus en commençant par les plus faibles priorités. Le tri peut être réalisé par ordre croissant ou décroissant. Il peut être réalisé sur des chaînes de cactères en fonction de l’ordre alphabétique.


LES FILTRES:

Ils ne trient pas réellement les données. Le filtre automatique permet de n'afficher que les lignes qui correspondent aux clés prédéfinies . on y accède avec le menu Données puis Filtre puis Autofiltre et l'on règle colonne par colonne les choix en cliquant sur la flèche en tête de colonne. Attention, si vous faites un calcul sur les données filtrées, le calcul portera sur toutes les données parce que le filtre automatique ne fait que masquer les lignes ne correspondant pas aux critères du filtre. Il est donc conseillé de copier les valeurs filtrées vers une autre zone pour les utiliser dans un calcul ou d'utiliser la fonction SOUS.TOTAL():
=SOUS.TOTAL(index;plage) "plage" est la matrice de données utilisée par la fonction. "index" est un index de 1 à 11 qui appelle les fonctions suivantes:
 
index Fonction appellée
1 MOYENNE
2 NB
3 NBVAL
4 MAX
5 MIN
6 PRODUIT
7 ECARTYPE
8 ECARTYPEP
9 SOMME
10 VAR
11 VARP


LE DATAPILOT:

C'est un outil très facile à mettre en oeuvre pour regrouper des données. Supposons que vous ayez votre relevé de compte bancaire annuel dans une feuille Starcalc. Aux informations habituelles, vous avez ajouté une colonne « affectation » dans laquelle figure l'origine des sommes créditées et la destination des sommes débitées. Cette colonne peut donc contenir des informations comme salaire, prestations familiales, Etc pour les rentrées et téléphone, électricité, loyer pour les dépenses. Vous souhaitez savoir combien vous coûte annuellement chaque rubrique. Le DataPilot est fait pour ça:
Menu Données
Datapilote
activer
Dans la boite de dialogue qui apparaît, glissez le bouton «affectation» dans la zone «ligne»; glissez  les boutons « débits » et «crédit » dans la zone « colonne »; double-cliquez sur débit et crédit pour sélectionner la fonction de calcul « somme » et cliquez sur Ok. Starcalc a créé un tableau récapitulant votre feuille type d'affectation et par colonne.